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nos infos

 

Les autorisations d’urbanisme
Certificat d’urbanisme :
 • Un certificat d’urbanisme opérationnel renseigne mieux sur la nature de l’opération réalisable sur une propriété
   qu’un certificat d’urbanisme d’information.
 • Délai d’instruction : 2 mois - Délai de validité : 18 mois + 1 an de prolongation avec accord du maire.
Déclaration préalable :
 • Pour tout agrandissement  de moins de 40 m2 jouxtant une maison d’habitation et ne portant pas la surface de
   celle-ci à plus de 170 m2.
 • Pour une annexe de moins de 20 m2.
 • Délai d’instruction : 1 mois règlementaire + 1 mois si le projet est en site inscrit.
 • Délai de validité : 2 ans + 1 an de prolongation avec accord du maire.
Permis de construire :
 • Délai d’instruction : 2 mois règlementaires + 1 mois si le projet est en site inscrit.
 • Délai de validité : 2 ans + 1 an de prolongation avec accord du maire.

 

La durée des travaux
Elle dépend :
 • De l’importance du projet et de sa situation (accès difficile).
 • De la nature du sol et de la saison (dans un sol argileux, mieux vaut ne pas commencer des fondations l’hiver).
 • Du degré de finition intérieure (bibliothèque, cheminée, têtes de lits, etc…).
 • De l’importance des aménagements extérieurs (terrasses, murs de clôture, banquettes, tonnelle, coin-barbecue,
   cour de services, etc…).
 • Du choix des matériaux (approvisionnement, délai de séchage, délais techniques de mise en œuvre, etc…).
 • Du nombre de corps d’état nécessaires et de l’interdépendance de leurs interventions sur  le chantier.
 • De la disponibilité des maîtres d’ouvrage à répondre aux sollicitations de l’architecte et à assister à certains
   rendez-vous de chantier.
 • Des modifications en cours de chantier souhaitées par les maîtres de l’ouvrage.
 • De la capacité des entreprises d’intégrer dans leur charge de travail ces modifications.
 • De la raréfaction de certains corps de métier (choix d’entreprises compétentes réduit).
 • Du potentiel de salariés disponibles dans le bassin d’emploi local.

 

Les couleurs
Les couleurs réglementaires :
 • Sur certains territoires classés tels les sites inscrits, les PLU prescrivent des couleurs pour les menuiseries de
   type « classique » et les enduits extérieurs dans le but de protéger le paysage local, au risque parfois d'en réduire la richesse.
 • Si séduit par le côté préservé de l’île de Ré, on accepte ces règles, on peut quand même y ajouter une petite touche
   personnelle en utilisant pour les portails et volets des verts moins basiques que ceux permis. Dans une cour, à l’abri
   de la vue, pourquoi ne pourrait-on pas  pour les murs utiliser des couleurs réverbérant moins le soleil que le blanc en
   le teintant d’ocre jaune voire d’un mélange d’ocre jaune et de rouge comme cela se faisait avant que dans les années
   1970, l’île de Ré devienne Ré la Blanche.
Les couleurs non-réglementaires :
 • Aujourd’hui sur l’île de Ré, les couleurs à la mode sur les volets et les portails sont le beige, le gris foncé et le noir.
   Or, sous le soleil rétais, les gris trop chargés en colorants virent au violet, ou au bleu, le noir s’écaille. Par beau temps
   ou par mauvais temps, même constat : que ces couleurs sont tristes !
 • Que peut faire l’architecte soumis à cette demande d’utilisation de couleurs illégales :
   . Expliquer le pourquoi des couleurs règlementaires et la marge de manœuvre possible
   . Rappeler qu’elle entraine une non-conformité des travaux
   . Les mettre en œuvre sur des façades non-visibles des rues ou sur des ouvertures et des matériaux non traditionnels
     (baies, bardage bois, etc…).

 

Les plantations
 • En limite des voisins, on ne peut pas planter à n’importe quelle distance ni laisser pousser à n’importe quelle hauteur.
   A 50 cm de la limite les plantations de 2 m maximum de hauteur.
   . A 2 m de la limite les plantations de plus de 2 m de hauteur.
 • Les arbres poussent, leurs racines grossissent et elles peuvent endommager les réseaux souterrains.
   Prévoir leur emplacement en tenant compte du plan de récolement des réseaux qui doit être fourni à la fin des travaux.
 • Les essences locales demandent moins d’entretien et d’arrosage et participent du paysage qui vous a séduit.
   Ne les oubliez pas lors de l’aménagement de votre jardin. Elles cohabitent bien avec des essences plus exotiques.
 • Les plantes et les arbres de serre et de pépinière s’adaptent au terrain au bout d’un an, voire 2 ans.     
 • L’arrosage intégré, si  pratique, présentent deux inconvénients :
   . En maintenant l’herbe humide, finies les siestes allongé sur l’herbe
   . Une fois mis en marche, il fonctionne tout seul et on l’oublie.
   Comme il n’est pas utile d’arroser son jardin toute l’année ni quand il pleut, choisir un système d’arrosage
   au fonctionnement simple à régler pour l’adapter au besoin d’eau réel du jardin.

 

Les réseaux :
 • Eau : Nécessité de vannes d’arrêt bien identifiées et accessibles pour purger les robinets extérieurs de puisage
   et l’alimentation  en eau de la maison entre le 15 novembre et le 1ier mars quand les maisons sont inhabitées.
 • Electricité : Nécessité d’un tableau électrique accessible où tous les circuits sont bien identifiés.
 • Chauffage : Avoir une installation de chauffage qu’il est possible de régler facilement sur « hors gel » entre le
   15 novembre et le 1er mars quand les maisons sont inhabitées.